01 August 2013
25 July 2013
04 January 2012
04 April 2011
22 March 2011
Não deixes caminhos por atalhos...
Quando se desenvolvem cansaços desmedidos aos quais os «pequenos espíritos» não conseguem dar resposta, o perigo de colapso é iminente.
Não se pode pedir aos que começam uma resposta sem que o tempo das perguntas chegue. Não se deviam atormentar a pobreza de espírito dos demais em detrimento daquilo que, para nós, já é lieu commun... Pois, como pode um «professor» pedir aos seus discípulos que descrevam algo pormenorizadamente sem que estes àquela tenham tido acesso?
O espírito de quem não experiencia e vive na ânsia de um futuro em qualquer situação/momento de uma vida, de um percurso, apenas se agarra aos sonhos que alguém lhes cedeu, um dia, num lugar sombrio onde, para eles esse sonho se tornou esperança e luz... Desta feita, para quê questionar incessantemente o(s) porquê(s) de um sonho, das vontades e anseios...?
Tal como para todos os caminhos na vida existem atalhos e/ou «saídas-de-emergência»... Assim sendo, não se leve ao limite a indagação dos propósitos de um sonho... Poderemos, muito bem, com isso, estar a lembrar aos 'sonhadores' que nada mais são que isso... pensadores do imaterial; observadores de um espectro reflexo de si mesmos.
30 December 2010
La jeunesse
Lorsque l'on tient,
Entre ses mains,
Cette richesse,
Avoir 20 ans,
Des lendemains plein de promesses,
Quand l'amour, sur nous se penche,
Pour nous offrir ses nuits blanches,
Lorsque lon voit,
Loin devant soi, vivre la vie,
Broder lespoir, riche de joies, et de folies,
Il faut boire,
Jusquà l'ivresse, sa jeunesse,
Tard, tous les instants de nos 20 ans nous sont comptés,
Et jamais plus, le temps perdu, ne nous fait face,
Il passe,
Souvent en vain, nous tend les mains, et nous regrette,
Il est trop tard,
Sur son chemin, rien ne l'arrête,
On ne peut garder sans cesse, sa jeunesse.
Hier encore, javais 20 ans, je caressais le temps et jouait de la vie,
Comme on joue de l'amour et je vivais la nuit, sans compter sur mes jours qui fuyaient dans le temps,
J'ai fait tant de projets qui sont restés en lair,
J'ai fondé tant despoirs qui ses sont envolés,
Et je reste perdu ne sachant où aller,
Les yeux cherchant le ciel, mais le cœur mis en tête,
Hier encore, javais 20 ans, je gaspillais le temps, en croyant l'arrêter,
Et pour le retenir, même le devancer,
Je n'ai fait que courir, je me suis essoufflé,
Ignorant le passé, conjuguant au futur,
Je précédais de moi toute conversation,
Et donnais mon avis, ce que je voulais de bon,
Pour critiquer le monde avec désinvolture,
Hier encore, j'avais 20 ans, mais j'ai perdu mon temps, à faire des folies,
Qui ne me laissent au fond rien de vraiment précis,
Que quelques rires au fond et la peur de l'ennui,
Car mes amours sont morts avant dexister,
Mes amis sont partis, ils ne reviendront pas,
Par ma faute j'ai fait le vide autour de moi,
Et j'ai gâché ma vie et mes jeunes années,
Du meilleur et du pire en jetant le meilleur,
J'ai figé mes sourires, j'ai glacé mes pleurs,
Où sont-ils à présent, à présent, mes 20 ans ?
Lorsque l'on tient, entre ses mains, cette richesse,
Avoir 20 ans, des lendemains plein de promesses,
Il faut boire, jusquà l'ivresse, sa jeunesse...!
Charles Aznavour
15 July 2010
Dies amara valde
Libera me, Domine, de morte aeterna, in die illa tremenda:
Quando caeli movendi sunt et terra.
Dum veneris judicare saeculum per ignem.
Tremens factus sum ego, et timeo, dum discussio venerit, atque ventura ira.
Quando caeli movendi sunt et terra.
Dies illa, dies irae, calamitatis et miseriae, dies magna et amara valde.
Dum veneris judicare saeculum per ignem.
Requiem aeternam dona eis, Domine: et lux perpetua luceat eis.
Quando caeli movendi sunt et terra.
Dum veneris judicare saeculum per ignem.
Tremens factus sum ego, et timeo, dum discussio venerit, atque ventura ira.
Quando caeli movendi sunt et terra.
Dies illa, dies irae, calamitatis et miseriae, dies magna et amara valde.
Dum veneris judicare saeculum per ignem.
Requiem aeternam dona eis, Domine: et lux perpetua luceat eis.